25.8.08

Fatales éoliennes

Les gentilles éoliennes font la joie des gentils amoureux de la gentille nature. Mais pas celle des chauves-souris, qui figurent au premier rang de leurs victimes, bien avant les oiseaux. Une équipe de chercheurs vient de publier dans Current Biology l’explication du phénomène : les chauves-souris ne sont pas seulement heurtées par les pales, mais souffrent de barotraumatismes dus aux microchutes de pression autour des éoliennes. Leurs poumons de mammifères y sont plus sensibles que ceux des oiseaux.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

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Et puis il faut entendre gueuler les gens qui habitent à deux pas d'une éolienne et qui ne peuvent pas dormir de la nuit à cause du vroom vroom vroom vroom de la pression aérodynamique de la pale frolant le pilier de la machine.

C'est comme les ours dans les pyrénnées, ça. C'est beau vu de la Tour Effel ou de la Canebière.

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