10.9.08

Expérience de mort imminente

L’Université de Southampton annoncera officiellement demain (11 septembre) le lancement des études AWARE (AWAreness during Resuscitation) et BRAIN-1 (Brain Resuscitation Advancement International Network – 1). Il s’agit du plus ambitieux projet d’étude scientifique et médicale des expériences de mort imminente (near-death experience). Ce terme a été popularisé par les travaux de Raymond Moody, Elisabeth Kübler-Ross, George Rithcie dans les années 1970, et par l’International Association for Near-death Studies créée en 1978. Mais le phénomène est connu depuis le XIXe siècle. Lorsque des patients reviennent à la vie après un état de mort clinique, un certain nombre d’entre eux (10-20 % selon les études) rapportent des sensations variables et parfois concomitantes : conscience d’être mort, calme et sérénité, impression de flotter hors de son corps, long tunnel noir avec une vive lueur au bout, chaleur malgré la nudité, rencontre avec des êtres disparus. Ces phénomènes mentaux ont été perçus par beaucoup comme des « démonstrations » de l’existence de l’âme ou d’une survie après la mort.

Sam Parnia, directeur de l’étude et spécialiste des états de conscience en phase terminale, observe : « Contrairement à la perception populaire, la mort n’est pas un moment spécifique. C’est un processus qui commence lorsque le cœur s’arrête de battre, les poumons de respirer et le cerveau de fonctionner – un état médical appelé arrêt cardiaque, qui est synonyme de mort clinique d’un point de vue biologique. Durant un arrêt cardiaque, les trois critères de la mort sont présents. Il s’ensuit une période de temps, qui peut durer de quelques secondes à une heure ou plus, au cours de laquelle l’intervention médicale d’urgence peut réanimer le cœur et inverser le processus de mort. » L’étude AWARE va donc mobiliser des médecins et des chercheurs dans un réseau de cliniques anglaises (puis européennes et nord-américaines) pour étudier de manière systématique ce qui se passe après un arrêt cardiaque. Seront notamment mesurées ou évaluées l’activité du cerveau, ainsi que la capacité présumée à voir et entendre ce qui se passe dans la salle d’opération.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Il y a 3 sorties différentes:

La projection astrale, je n'en ai jamais faite je crois à part en rêve peut être.

La sortie astrale: Rien de spécial, on sort, mais on est juste hors de son corps et on se promène dans la maison. Peut être que depuis là, on peut faire une projection, aucune idée. C'est facile comme tout, il existe une machine qui aide, mais si on achète les bouquins de William Buhlman et que l'on fait les exercices, on sort très vite, c'est comme d'apprendre le vélo ou le patin à roulettes. Faut s'accrocher un peu. On découvre un corps identitique au notre, exactement, avec des mains et tout, mais c'est cotonneux.

L'expérience de mort imminente: Le couloir et toute l'histoire. Je suis jamais allée jusque dans le couloir.

L'éveil du chakra coronal, j'ai testé, trop long à expliquer. Très spécial. Impression de ne plus avoir de peau sur le crane et sortir tout le temps mais c'est pas une sortie astrale. Une autre histoire. Ce serait l'ouverture de la glande pinéale. C'est bien plus fou qu'une sortie astrale, un truc très délire, mais là, attention, attention. Je trouve cela assez merveilleux mais effrayant aussi, car pas facile de trouver un encadrement qui assure.

Eveil de Kundalini: Une autre histoire. J'ai testé. C'est lié à l'éveil du chakra coronal, mais cela se passe dans la colonne vertébrale, orgasme toute la journée.

Eveil du 3ème oeil: Une autre histoire. J'ai testé. Sensation d'avoir une pression constante entre les deux yeux, et médiumnité à faire peur. Cela fout les chocottes. Visiblement les gens qui ont eu des éveils du 3ème oeil (ouverture partielle de la glande pinéale selon les bouddhistes), peuvent plus facilement avoir une ouverture complète. Mais cela n'a rien à voir du tout.

Chakra du coeur: ouverture,sensation d'avoir une boule de feu dans le coeur. Ne plus rien avoir envie de faire que de rester à respirer la boule. Pas besoin de méditer ou quoi que ce soit pour que cela s'ouvre.

Bref, c'est le boxon. Mais cela existe pour moi, comme d'avoir un orgasme ou de manger, ou de faire du vélo.

Ce que j'aimerais savoir, c'est combien sommes-nous? Est-ce rare ou fréquent? J'aimerais qu'il existe un f... guide de tout cela, mais je n'aime pas les new age, je n'aime pas les sectes, je n'aime pas trop ce milieu, donc j'ai la flemme de m'y mettre et je me dis que des tas de gens sont plus doués que moi. Et puis je suis paresseuse. Et puis le monde est cartésien, ce qui n'est pas plus mal, cela nous a sorti de l'obscurantisme, du pouvoir des religieux. Mais.

On ne peut pas faire des études sur l'orgasme, sur le sexe, sur l'état amoureux, sans l'avoir expérimenté soi-même.

Devoir expliquer le sentiment amoureux, c'est trop compliqué. L'orgasme aussi.

Donc là, maintenant, il faut que les scientifiques expérimentent par eux mêmes. Qu'un membre de leur équipe au moins se dévoue.