Des hymens issus de culture de cellules vaginales (Reodica), des drapeaux de peau (Goulet), un cerveau bioluminescent (Takita), des cuirs sans victimes animales (Catts et Zurr), des auto-hybridations en arlequin (Orlan), des plantes en gravité zéro (Oksiuta), des encres thermochromiques réagissant au toucher (Berzina)… bienvenue dans le monde des Sk-Interfaces, en équilibre toujours instable sur la frontière de l’art, de la technologie et de la société. L’exposition de la FACT rassemble à Liverpool, jusqu’au 30 mars prochain, une quinzaine d’artistes contemporains travaillant sur les modifications du vivant, les nouveaux rapports entre espèces, les interfaces individu-milieu et individu-société. Comme un avant-goût des mutations à venir.
Informations : Fondation for Art and Creative Technology.
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