
Les chercheurs ont posé deux types de problème (simple ou complexe) à trois types de groupe : connexion totale (fully connected, chacun partage toutes ses informations avec tous les autres), connexion locale (locally connected, chacun n’échange qu’avec ses voisins immédiats), monde à soi (small world, chacun échange d’abord avec ses voisins, mais peut aussi proposer ou capter des bonnes idées au-delà du voisinage).
Résultat : la connexion totale donne les meilleurs résultats pour résoudre les problèmes simples, mais le monde à soi est plus performant pour surmonter les problèmes complexes. Ni les groupes fermés sur eux-mêmes ni les magmas indifférenciés ne sont créatifs. Pas vraiment une surprise…
Référence :
Goldstone R.L. et al. (2008), Emergent processes in group behavior, Current Directions in Psychological Science, 17, 1, 10-15.
Illustration : C. Muller
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire